Les Minis - Un escadron de souris grippettes

"Les Minis - Un escadron de souris grippettes" est une pièce de théâtre écrite par Esther pour le 1er cycle du primaire. 

La scène de l'École St-Joseph à Montréal a été témoin de la première production de cette pièce très amusante, le 7 mai 2009.

Voici le résumé de la pièce:

Chaque jour, un escadron de souris bigarrées part à l’aventure afin de dénicher sa pitance. Mais, leur ennemi numéro un, GROS MATOU, est sur leur route. MINI CHEF voudrait réfléchir, mais entre MINI MINI qui a peur, MINI MELODIE qui chante, MINI JUNIOR encore en retard et les jérémiades de MINI MIAM MIAM, impossible de se concentrer. Heureusement, MINI FUTE élabore une stratégie.Grimpeur émérite, MINI VOLANT assiste MINI FUTE dans son plan. Encouragés par l’escadron, ils partent en éclaireurs et découvrent la manne. Leur enthousiasme éveille GROS MATOU. Un combat mémorable suivra et un festin sera la récompense du vainqueur.

Et quelques informations pertinentes:

Répertoire :    Tout public
Sujet :             Aventure
Genre :           Conte
Distribution :  10 garçons ou filles
Durée :          15 minutes

Article dans le Québec Hebdo

Un article sur Esther a été publié dans le Québec Hebdo dimanche dernier le 21 août 2011.

Voici le lien:  
Québec Hebdo du 21 août 2011

Le texte intégral:

Esther Hardy invite les jeunes du primaire à jouer au théâtre

Animée du désir de transmettre l’amour du jeu, Esther Hardy présente ici sa nouvelle collection qui propose 12 pièces de théâtre, des sections consacrées aux auditions, à la création d’une pièce, aux conseils, aux répétitions et aux...

«On a l’habitude de dire «Viens jouer dehors!» et si cette fois on se disait «Viens jouer au théâtre» et qu’on s’amusait à créer toutes sortes de personnages, fées, elfes, dragons, magiciens et princesses».

C’est l’invitation que lance aux enseignants et aux élèves du primaire la comédienne et auteure Esther Hardy, originaire de Beauport, avec la nouvelle collection de 12 pièces de théâtre parue récemment aux Éditions Guérin de Montréal, où elle demeure depuis déjà plusieurs années.

Pour cette enseignante d’expérience en théâtre au primaire, cette série s’adressant aux jeunes comédiens de cinq à 12 ans représente une belle occasion d’apprendre des maximes, de vivre en hommes des cavernes, de se soucier de l’environnement, de jouer à la star ou au snob et même de vivre des aventures avec des chevaliers, des ninjas, des pingouins, des lions et toutes sortes de personnages sur la planète «Cocasserie» remplie de mignons petits extraterrestres.

Le désir de transmettre l’amour du jeu «Viens jouer au théâtre» propose des recueils de pièces pour chacun des trois cycles du primaire. Ils sont remplis de conseils pour la mise en scène et la direction de jeunes comédiens et comprennent aussi une partie guide d’enseignement qui permet de rencontrer les exigences du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport en lien avec le programme d’art dramatique», mentionne l’auteure.

Animée du désir de transmettre l’amour du jeu, Esther Hardy ajoute que l’on retrouve dans les cartables reproductibles des sections consacrées aux auditions, à la création d’une pièce, aux conseils, aux répétitions et aux points de repère.
«La pensée qui doit sous-tendre tout enseignement du théâtre est le plaisir de se dépasser sur scène pour ainsi contribuer à ce que chaque enfant reparte grandi de son expérience. Une des premières consignes enseignées est de considérer le théâtre comme un terrain de jeu, où tout ce qui est normalement défendu socialement sera permis, dans la mesure où les jeunes apprentis l’utiliseront pour enrichir l’interprétation de leur personnage», confie la comédienne.

Une inspiration fructueuse «Après seulement quelques heures de cours, de jeunes apprentis comédiens traumatisés à l’idée de monter sur scène ont réussi non seulement à y exceller, mais aussi à se porter volontaires et même à être choisis pour assumer le rôle de maître de cérémonie. De telles victoires deviennent possibles dans l’environnement décrit dans les pages de cette nouvelle collection», poursuit l’auteure qui en sept ans a écrit plus de 37 pièces pour jeunes comédiens.

Native de Beauport, Hélène Loiselle a dû changer son nom dès le début de sa carrière pour celui d’Esther Hardy, afin de ne pas avoir le même que la célèbre comédienne de Montréal. Elle a découvert l’écriture de chansons et fait ses premières armes d’actrice sur la scène de l’Académie Sainte-Marie en 1977. Après plusieurs participations à «Cégeps en spectacle», elle poursuit sa formation en Art et technologies des médias au cégep de Jonquière et devient bachelière en beaux-arts avec une majeure en théâtre à l’Université Concordia en 1986, à Montréal. Elle joue ensuite plusieurs rôles au cinéma, à la télévision et au théâtre.

Le metteur en scène Wajdi Mouhawad l’encourage fortement à songer à l’écriture dramatique percevant en elle le feu qui l’habite et son puissant désir de transmettre cet élan de liberté à ses semblables. Depuis 2002, elle occupe un emploi d’enseignante en théâtre et d’auteure dramatique. Sans relâche, elle s’évertue à offrir des textes créatifs et ludiques pour le plus grand plaisir de ses muses, ses élèves de cinq à 12 ans.

Esther sur Le Proscenium

Esther s'associe au site LE PROSCÉNIUM afin de pouvoir faire profiter de ses textes à toutes les troupes de théâtre amateures, professionnelles ou tous ceux qui désirent les jouer.


Lien pour accéder au site:

Le PROSCÉNIUM

Chacune de ses pièces y seront disponibles éventuellement.

Elles ont décroché le rôle...

Voici les nouvelles vedettes de la pub "Loto Québec" !

C'était déjà très cocasse de passer une audition pour les mains, imaginez ensuite la préparation au tournage: non pas un, mais deux manucures, ensuite le maquillage de la dite "vedette", soit la main droite, puis nous passons aux costumes: quelques bijoux pour que notre vedette soit fin prête.


Une aventure d'autant plus amusante, puisque le tournage n'était pas du tout conventionnel. Nous avons tourné un film d'animation, soit 93 photos prises pour illustrer le mouvement d'écriture d'une signature...

Cette main droite se nomme donc: "Monique Chaurette"...

Une équipe très aguerrie s'est chargée de placer la main avant la prise de chacune des photos. L'important étant de s'assurer que le mouvement que formera l'ensemble des photos prises en les passant rapidement, paraisse naturel.


La publicité sera en onde au petit écran, d'ici l'automne au Québec.

Ma dernière pub: Uniprix

Ou le plaisir d'être pharmacienne d'une nuit....

Dulcinée, écrite et jouée par Esther

Vous pouvez visionner la pièce "Dulcinée" écrite et jouée par Esther le 15 juin 2008 au Théâtre Prospéro:

Prestation intégrale

Distribution:

Johanne, la serveuse:  Sonia Quirion
Mme Létourneau:  Janique Kearns
Le Client:  Pierre-Olivier Fortier
Dulciné:  Esther Hardy

Mise en scène:  Patrick Olafson
Texte: Esther Hardy

Les tabous sociaux au Jamais Lu

Hier soir, le Festival du Jamais Lu rassemblait une trentaine d'auteurs pour discuter très ouvertement des tabous d'écriture...

Nous avions chacun un court texte de 50 mots à rédiger à l'avance pour nourrir la discution.

Voici le mien:

Pour moi, le tabou est intimement lié au sens du sacré, celui qui inspire et donne une Vision.


Par contre, si on le nomme tabou, c'est qu'on a oublié sa source, son sens du sacré.


Un auteur a besoin de toute sa liberté pour déployer son art, donc les tabous sont à proscrire, mais certe pas le sens du sacré.

Et pendant les discutions très intéressantes, nous avons élaborés sur des tabous spécifiques de notre société, en fait, ce que nous n'aimons pas entendre parler bien souvent.  Chacun était invité à élaborer sur le sujet, voici un deusième texte lu dans la soirée:


La mort est devenu un de nos plus gros tabou, on la cache, on l'aseptise, elle ne doit surtout pas déranger nos vies...au point de mettre nos défunts dans des réfrigérateurs parce qu'ils ont eu l'outrepudence de mourir au mauvais moment. Il ne faut surtout pas que la mort perturbe nos vies. Le deuil est caché, la tristesse est soignée parce que mal saine.


Oui nous sommes la somme de nos bonheurs, de nos tristesses et de nos traumatismes. Et nous avons besoin de la mort pour comprendre la Vie.Il a généré moins d'enthousiasme que le précédent.  Néanmoins, chacun a eu l'occasion d'élaborer son point de vue, donc nous avons pu confronter nos idées et réfléchir ensemble...

Très belle soirée!!!